Revenons à la définition principale de la notion de « solidarité ». Concrètement, deux entités sont dites solidaires lorsque l’on ne peut les détacher l’une de l’autre.
Mécaniquement, ce concept peut très facilement s’illustrer avec le cas de la liaison encastrement entre deux pièces.
La liaison encastrement, dite aussi complète, se manifeste par 0 degré de liberté ; c’est-à-dire qu’il n’y a aucune translation ou rotation possible d’une pièce par rapport à l’autre.
Finalement, deux pièces solidaires l’une de l’autre auront la même trajectoire dans l’espace.
En nous replaçant dans le contexte de la communauté musulmane, il y a des gens comme Jean-Paul Ney, qui pensent que tous les musulmans sont comme ça :
Sauf qu’il oublie que :
- Le comportement global de la communauté musulmane pourrait aisément s’assimiler à celui des molécules d’eau à l’état gazeux, à savoir désordonné et libre de ses mouvements.
- Comme il est très facile de se convertir à l’Islam, d’aucuns n’hésitent plus à prononcer la chahada magique afin de justifier leurs méfaits. De la même manière que des politiciens récupèrent une étiquette politique afin de faire carrière, ou d’autres se cachent derrière un masque humaniste afin de faire passer les pires lois.
- Enfin, lorsque n’importe qui d’une autre communauté commet un crime ou toute autre connerie condamnable, personne ne demande de se désolidar(is)er, pour la simple raison que la folie et la bêtise n’ont ni religion, ni couleur, ni nationalité ou autre ethnie et que n’importe qui peut en être victime.
Alors, non désolée, mais ni moi ni mes semblables ne nous désolidar(is)erons. Parce que pour cela, il faudrait déjà que nous soyons solidaires. Ne vous en déplaise, nous ne sommes pas le châssis du moteur qui fait tourner l’entreprise des dégénérés de Daesh ou autre.
Bien entendu, nous nous abstiendrons de demander aux véritables intellectuels de se désolidar(is)er des plagiats et du travail de faussaire que mène M. Ney, de la même façon que nous ne ferons aucune requête de désolidar(is)ation auprès des journalistes qui ne se comportent pas comme des barbouzes et qui maîtrisent parfaitement la syntaxe de la langue française, ce qui est la base de la profession.
Bon article!
Bien vu mademoiselle !